Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Web-conférence gratuite avec Anne Tuffigo dans

00
heures
00
minutes
00
secondes

Se parler à soi même : les avantages

3 minutes de lecture
se parler à soi même

Sommaire

    Sommaire

    Comprendre le dialogue avec soi-même. Prenez une minute et réfléchissez à ce que vous vous êtes dit aujourd’hui. Était-ce une critique ? Ou était-ce bienveillant et utile ? Comment vous êtes-vous senti après avoir entamé cette discussion intérieure ?

    Apprenez des meilleurs mentors

    Qu’est-ce que le dialogue avec soi-même ?

    Le dialogue avec soi-même est quelque chose que l’on fait naturellement tout au long de la journée. Les gens sont de plus en plus conscients que le dialogue positif avec soi-même est un outil puissant pour augmenter la confiance en soi et réduire les émotions négatives. Les personnes qui maîtrisent le dialogue positif avec elles-mêmes sont considérées comme plus confiantes, plus motivées et plus productives.

    Comment fonctionne le dialogue avec soi-même ?

    Bien que le dialogue positif avec soi-même soit naturel pour certains, la plupart des gens doivent apprendre à cultiver des pensées positives et à chasser les pensées négatives. Avec de l’entraînement, il peut devenir plus naturel d’avoir de bonnes pensées plutôt que de mauvaises.

    Parler de soi de manière positive

    Le dialogue positif avec soi-même est un soutien et une affirmation de soi. Considérez les deux déclarations intérieures suivantes :

    • « Je vais prendre la parole lors de la réunion d’aujourd’hui parce que j’ai quelque chose d’important à apporter » Il s’agit d’un plan et d’une attitude positifs.
    • « Je ne pense pas vouloir prendre la parole lors de la réunion d’aujourd’hui parce que j’aurai l’air idiot si je dis la mauvaise chose Comparez ce commentaire négatif avec l’affirmation ci-dessus.

    Rumination : Le discours négatif sur soi

    La rumination est le revers de la médaille du monologue intérieur positif. Elle se produit lorsque vous repassez en boucle dans votre tête des pensées ou des événements contrariants ou inquiétants. Il peut être utile de réfléchir à un problème, mais si vous passez beaucoup de temps à ruminer, les petits problèmes ont tendance à faire boule de neige. Une rumination constante peut vous rendre plus susceptible de souffrir de dépression ou d’anxiété.

    Cette affirmation montre que les pensées négatives peuvent s’amplifier et devenir une source d’autodestruction :

    « J’ai l’air tellement grosse dans cette robe. Je suis vraiment grosse. Regardez ces cuisses. Pas étonnant que je n’arrive pas à obtenir un rendez-vous. Pourquoi ne puis-je pas perdre du poids ? C’est impossible. »

    Excellent
    4.8 out of 5
    Programme confiance en soi : formation éligible au CPF. Coaching individuel et collectif.

    L’importance du langage

    Les chercheurs ont découvert que ce qui compte, ce n’est pas seulement ce que l’on se dit à soi-même, mais aussi le langage que l’on utilise pour le dire. Un rapport de 2014 décrit le rôle du langage dans le dialogue avec soi-même. Quelle est la clé ? Lorsque vous pratiquez le dialogue avec vous-même, ne vous référez pas à vous-même à la première personne, comme « je » ou « moi » Utilisez plutôt la troisième personne, en disant « il » ou « elle », ou nommez-vous.

    Brené Brown, professeur au Graduate College de l’université de Houston et conférencière motivante, appelle les voix négatives dans sa tête ses « gremlins ». En donnant un nom à ses pensées négatives, elle s’en éloigne et s’en moque.

    Le rapport ajoute que l’utilisation de la troisième personne pour parler de soi peut vous aider à prendre du recul et à réfléchir plus objectivement à vos réactions et à vos émotions, que vous pensiez à un événement passé ou que vous vous projetiez dans l’avenir. Cela peut également vous aider à réduire le stress et l’anxiété.

    Comment commencer

    Écouter et apprendre

    Passez quelques jours à écouter attentivement vos dialogues intérieurs. Vous soutenez-vous ? Êtes-vous critique ou négatif ? Seriez-vous à l’aise pour dire ces pensées et ces mots à un être cher ? Y a-t-il des fils conducteurs ou des thèmes qui se répètent ? Notez les pensées négatives importantes ou fréquentes.

    Réfléchissez bien

    Posez-vous les questions suivantes à propos de chacune des pensées que vous avez notées :

    • Est-ce que je réagis de manière excessive ? Est-ce vraiment si important ? Est-ce important à long terme ?
    • Suis-je en train de généraliser à outrance ? Est-ce que j’arrive à une conclusion basée davantage sur une opinion ou une expérience que sur des faits ?
    • Est-ce que je lis dans les pensées ? Est-ce que je suppose que les autres ont des croyances spécifiques ou se sentent d’une certaine manière ? Est-ce que je devine leur réaction ?
    • Est-ce que je m’attribue une étiquette sévère ? Parlez-vous de vous en utilisant des mots comme « stupide », « sans espoir » ou « gros » ?
    • S’agit-il d’une pensée de type « tout ou rien » ? Est-ce que je considère un incident comme bon ou mauvais sans tenir compte du fait que la réalité est rarement noire ou blanche ? La réponse se trouve généralement dans la zone grise entre les deux.
    • Dans quelle mesure cette pensée est-elle vraie et exacte ? Prenez du recul et examinez l’exactitude de cette pensée comme le ferait un ami.

    Changez de vitesse

    Maintenant que vous avez une meilleure idée de la façon dont vos pensées intérieures sont faussées, il est temps de passer à la vitesse supérieure et d’apprendre une nouvelle approche du dialogue avec soi-même. Reprenez les pensées de votre liste et reformulez-les d’une manière plus aimable et plus positive.

    Exemple 1

    • « Quel idiot ! J’ai vraiment raté ma présentation. C’est la fin de ma carrière »
    • Alternative : « Je peux faire mieux que ça. Je me préparerai et répéterai davantage la prochaine fois. Je suivrai peut-être une formation à la prise de parole en public. Ce serait bon pour ma carrière. »

    Exemple 2

    • « Je ne peux pas faire cela en une semaine. C’est impossible. »
    • Alternative : « C’est beaucoup à faire, mais j’avancerai pas à pas. Je pense que je vais voir si mes amis peuvent m’aider aussi. »

    Exemple 3

    • « C’est ridicule ! Je ne peux pas m’apprendre à penser plus positivement. »
    • Alternative : « Apprendre à penser plus positivement peut m’aider de bien des façons. Je vais essayer. »

    Vous ne pouvez que gagner

    Bannir votre critique intérieur et apprendre à avoir des conversations intérieures productives et positives n’a pas d’inconvénient. Certaines personnes auront plus de facilité que d’autres à adopter un discours positif sur elles-mêmes. D’autres devront y consacrer plus de temps et d’efforts. Quoi qu’il en soit, il s’agit d’une étape utile pour s’améliorer et améliorer son estime de soi.

    Question (Patient anonyme) :

    Pourquoi est-il important de parler de soi ?

    Réponse :

    Le monologue intérieur est important à bien des égards. C’est le scénario que nous utilisons pour encadrer notre vie. Si nous nous transmettons constamment des messages négatifs, nous commençons à développer des pensées automatiques qui nous font passer d’un incident particulier à une réaction émotionnelle négative. À l’inverse, si nous nous parlons à nous-mêmes de manière positive, nous commençons à voir le monde d’une manière plus positive et nous nous sentons finalement mieux dans notre peau. Nous ne pouvons pas toujours contrôler ce qui arrive, mais nous pouvons contrôler la façon dont nous y réagissons !

    Mentor Christophe Andre 2
    Christophe André
    Enseigne la gestion des émotions
    12 leçons
    3h

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

    Web-conférence gratuite
    Comment et pourquoi nos défunts communiquent avec nous ?